Mot-clé - billet de Philippe Dohy

Fil des billets

dimanche 2 août 2015

un coucou à Noémie Lille qui fait des mauvaises photos comme tout le monde que ça n'a rien d'intéressant que n'importe qui fera bien mieux c'est même pas la peine d'en parler ça ne sert à rien c'est tout le monde pareil sauf JP Gaultier


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et pour encourager son fort potentiel
qui mériterait valorisation continue ;)


jeudi 30 juillet 2015

les vrais journalistes

 




   


  Albert Londres


    grand reporter

scénario de Philippe Dohy

« Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et
que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée
dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir,
non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie »
Albert Londres.

Albert Londres, grand reporter © Radio France - 2013 / anonyme 1923

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

avec :

Albert Londres : Bertrand Suarez-Pazos

Florise Londres : Kim Koolenn

Henry Béraud : Laurent Orry

Elie-Joseph Bois : Laurent Cléry

Pierre Renaudel : Pierre Constant

Eugène Dieudonné : Hervé Furic

Rachel : Pauline Ziadé

La passagère : Audrey Meulle

 

Présentation : Stéphanie Duncan

Prise de son / montage et mixage : 

Olivier Dupré et Déborah Dagobert

Assistante : Clémence Gross

Réalisation : Michel Sidoroff

Production : Patrick Liegibel

Ecriture : Philippe Dohy

Emission : Au fil de l'Histoire


Ecouter, clic > franceinter.fr/emission-au-fil-de-lhistoire-albert-londres

Lire : voir ces 2 annexes, doc ou rtf, avec davantage de scènes que l'audio.

la relève est assurée :-)

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France Inter,
Au fil de l'histoire,
scénario de Philippe Dohy,
joué et mise en scène ; clic >

Albert Londres,
grand reporter engagé,
jusqu'à en être assassiné aussi.


© photo Philippe Dohy, à la manifestation Charlie de Paris.

jeudi 14 mai 2015

grand coeur, grande classe, grande échelle


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(la nouvelle femme de ma vie)


© Connie Britton, Rayna James dans Nashville, série country écrite et produite par Callie Khouri avec Lionsgate et ABC Studio.

Les chansons sont très bien écrites et interprétées par les acteurs du rôle. Les personnages sont attachants.

L'intrigue est généralement aussi bien écrite et lente que pour Les Feux de l'amour ; elle est d'ailleurs accompagnée d'une B.O. affligeante digne du rayon oeufs de poules en cage des supermarchés voire digne des poules en cage d'ascenseur des hôtels formatés pour touristes américains.

Mais les morceaux sont tellement géniaux - frissons fréquents - qu'ils m'ont fait aimer cette nouvelle country comme celle de Johnny Cash.

NB

Pour l'Ascension sociale, c'est ici, c'est ainsi, c'est simple :

"Vous pouvez ignorer les règles du savoir-vivre à condition de suivre attentivement ce que vous dit votre coeur."

Nadine de Rothschild

jeudi 7 mai 2015

la vie extraordinaire de Pierre Loti

par Patrick Liegibel


 

visuel Au fil de l'histoire (archives)



Billet dédié tout spécialement


à Michel Thomé, en toute amitié.

logo de france inter



Les muses


de Pierre Loti,


académicien,


clown et marin

En 1891, l’Académie Française élit le plus jeune membre de son histoire : 

l’écrivain Pierre Loti, l’auteur de Pêcheurs d’Islande, 

âgé seulement de 41 ans. 

Un personnage hors du commun : officier de marine, 

grand amoureux des femmes, clown et acrobate à ses heures.


PIERRE LOTI

UN AMI

RARAHU

SARAH BERNHARDT

AZIYADE

JULIETTE ADAM

Présentation : Stéphanie Duncan

Assistante : Delphine Lemere

Réalisation : Michel Sidoroff

©lic > http://www.franceinter.fr/em/aufildelhistoire/87214

vendredi 17 avril 2015

union surprise contre les droits républicains


En plein débat houleux sur la surveillance policière d'internet, M. Sarkozy fait un joli cadeau aux socialistes de droite en détournant l'attention sur lui.

Normal. Juste retour d'affection entre ex ministres de l'Intérieur.

M. Valls lui fait déjà un beau cadeau avec une mauvaise loi sur la bonne surveillance d'internet.

Tout contrôler : le rêve de M. Sarkozy est depuis longtemps le même que celui de M. Valls.

Mais la droite fera un bon usage ("républicain", évidemment) de ce merveilleux outil technique et peu juridique, lorsqu'elle reviendra au pouvoir en 2017.


vendredi 27 mars 2015

petite épopée poétique

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jeudi 1 janvier 2015

1 janvier 2015, naissance de la microanalyse.


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Premiers principes.


  • Pour étudier les bigoudi, il suffit d'analyser un bigoudo.


  • Qui vole un oeuf ne vole pas un boeuf, ne vole pas un oeuf, il vole la poule.


© bigoudi deguisementsonline.com

mardi 28 octobre 2014

Antoinette



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© photo Philippe Dohy
(première photo sous ce tag)

samedi 30 novembre 2013

conversation avec mon agent


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Afin que mon agent se rappelle de moi,
je l'appelle de temps en temps de ma part.

- Bonjour. Je vous appelle de la part de Philippe Dohy.

+ Qui cela ? Philippe… ?

- DO-HY, dé eau hache iGrec.

+ C'est quoi, l'iGrec ? C'est le nouvel iPhone ?

- Oui, c'est cela. Philippe DO-HY, avec un iGrec.

+ Ah ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

- Grec.

+ Haha… Comment va-t-il ?

- Je vais très bien, merci. Et vous ?

+ Bien, merci.

- Et lui ?

+ Haha… Vous êtes très drôle, vous ! Vous avez un agent ?


© photo Superman, cdn-premiere.ladmedia.fr
& Conversations avec mon agent, de Rob Long,
Actes Sud Littérature, Lettres anglo-américaines.
Traduit par : Claudine et Guy-Patrick SAINDERICHIN.

dimanche 17 novembre 2013

Cité Bergère

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Passage des bergères
vers la rue Faubourg Montmartre.

© photo Philippe Dohy Creative Commons
paternité > https://commons.wikimedia.org/wiki/...

mardi 12 novembre 2013

Quel prochain Premier ministre ?

Ayrault est trop pote avec son ami président pour le contredire fermement. Hollande devrait donc, dit-on, changer rapidement, avant les municipales et les européennes plutôt qu'après le désastre annoncé pour le PS. Donc il est peu probable qu'il le fasse. Mais si jamais, qui ?

Valls l'autoritaire populaire serait renoncer mais à nouveau satisfaire la droite mais risquer de se faire souvent ridiculiser poliment par lui, comme dans l'affaire Leonarda où après avoir créé le problème, Valls en fit endosser la mauvaise solution au président.

Montebourg a besoin d'une dizaine d'années encore pour être un bon John Fitzerald Kennedy bien mûr.

Aubry ferait bien tourner la boutique, avec autorité, ce serait un bon gage centre gauche, mais vu sa personnalité cela deviendrait rapidement une sorte de cohabitation. Dans ses légendaires colères froides et cassantes, Martine pourrait même distribuer des fessées.

Ségolène a besoin d'une vingtaine d'années encore pour sortir des discours automatiques et pour raccourcir ses phrases des trois-quarts.

Mélenchon, ce serait tellement courageux et tellement à gauche, que c'est déjà fini.

Fabius se débrouillerait bien mais sa faible popularité due à ses casseroles qui feraient toujours beaucoup de bruit rendrait sa fonction sans doute trop difficile, il devrait sans cesse prouver qu'il ne fera plus de çonneries, ce qui n'est pas le poste idéal pour cela.

Taubira serait un choix formidable sauf qu'elle risque de se tuer à la tâche dans un climat de haine qui sera abondamment développé par l'extrême-droite (voir la nouvelle et pitoyable "une" de Minute).

Bon, bhein, en fait, je n'en vois plus qu'un de crédible : Betrand Delanoë, centre un peu à gauche, mais rigoureux et de pensée claire, malgré ses colères chaudes.

Je suis impatient d'entendre l'avis de Thomas Legrand, excellent analyste politique, à ce sujet sur France Inter, demain vers 07h40, puisqu'il a annoncé ce matin qu'il en parlerait.

D'autant que, s'il dramatise ainsi son intervention (il n'en dit rien la veille d'habitude), c'est qu'il a probablement des sources insistanttes sur cette éventualité, plus proche dès lors que ce que l'on pense.

jeudi 10 octobre 2013

le jardin à la française de Patrice Chéreau



Le Désir mis à... l'Epreuve de Marivaux, Compagnie Eulalie
Mise en scène de Sophie Lecarpentier. Avec Xavier Clion, Hélène Francisci, Vanessa Koutseff, Sophie Lecarpentier, Solveig Maupu, Emmanuel Noblet, Stéphane Brel, Julien Saada


Ah, la France, tant d'Esprit au théâtre pour gouverner les passions mais si peu pour gouverner les hommes, vous verrez que ce n'est pas hors-sujet, dans cette Epreuve...

Ce spectacle est excellent, comme bon nombre de ceux du Théâtre 13 qui soigne sa programmation et nous déçoit rarement. Il a l'originalité d'offrir deux parties. La première nous présente les moments les plus importants de la répétition de la seconde : L'Epreuve, courte pièce de Marivaux.

Commençons par résumer celle-ci.

Le jeune seigneur Lucidor tombe malade en province, sur ses nouvelles terres. Puis il tombe amoureux de la belle Angélique qui le soigne. Elle aussi se met à l'aimer. Mais hélas, ils ne se le disent pas, rien, que des jeux de regards incertains, des sous-textes à peut-être, des frôlements Oh oui, oh excuse-moi, ah, frôle-moi encore.

Il est très riche, il vient d'acheter ce grand château dont l'intendante, Madame Argante, bourgeoise fort désargentée, est la mère d'Angélique. Et elle veut justement marier son enfant unique à un homme riche. Alors ? mais ? quoi ? et quoi encore ? se torture Lucidor, question obsessionnelle du théâtre de Marivaux, et de tout millionnaire qui drague en étalant son argent, suis-je aimé pour moi-même ou pour mon titre et ma fortune ?

Pour le savoir, Lucidor va évidemment marivauder, ce qui se résume par : avouer ses sentiments en se déguisant. L'amour que l'on attribue à un autre semble souvent plus léger. Le vrai se masque sous la fiction pour dire le vrai. C'est l'essence du théâtre. Et comme chez Marivaux, tout cela s'analyse, se dit et se joue avec esprit, je le tiens pour le dramaturge qui exprime le mieux la finesse française.

Lucidor fait venir de Paris son valet Frontin en lui demandant de se faire passer pour une sorte de milliardaire. Comme Frontin est aussi bel homme, galant, intelligent et drôle, il a tout pour plaire à la mère. Mais aussi à Lisette, jeune servante qui croit reconnaître en lui un certain valet Frontin dont elle fut amoureuse à Paris, C'est toi ? non ? oh excusez-moi... mais si c'est toi !

Suite au théâtre ; ou dans le texte, puisque le théâtre de Marivaux se lit de manière captivante. Et c'est là que, devant tant d'esprit, nécessairement à l'écoute de l'autre (sans quoi la répartie ne se peut et tombe, molle et sans substance), l'on ne comprend pas, que nous ne soyons plus, en France, les rois de la négociation subtile. Et que nous ayons réduit celle-ci à de primaires et vulgaires rapports de force.

Quoique, admirez cet art de la transition que savoure mon rédac'chef, bel homme drôle et plein d'esprit, en retournant à la première partie, très fidèle à la vérité de la plupart des répétitions de théâtre en France, on y découvre, là, bien tapi dans les coulisses, mais pourtant tout-puissant, un autre pouvoir de droit divin, celui du monarque metteur en scène.

Le comédien idéal, de ce point de vue (très réaliste, j'insiste) est une machine à émotions, un instrument parfait. Il faut que tu sois ceci, il faut que tu sentes cela, il faut que tu dises ainsi, il faut que tu fasses comme ça. Chaque phrase, chaque mot, chaque geste sont sollicités et choisis, puis fixés et imposés.

Pour bon nombre de metteurs en scènes actuels, l'acteur se doit d'être une "marionnette intelligente mais docile". Au théâtre, celui qui joue le plus, c'est le metteur en scène. Vous ne me croyez pas. Essayez de voir, je ne sais où le trouver, sauf à l'Inathèque, mais en fouillant internet ou les médiathèques, vous le trouverez peut-être, et dites-moi où, essayez de trouver le remarquable documentaire d'Arte sur les répétitions de Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès, mis en scène par Patrice Chéreau, avec Pascal Greggory.

Vous verrez que chaque syllabe est répétée et répétée, variée, étudiée, composée, notée, fixée, figée. Tout le texte devient une partition précise, comme les interminables didascalies de Beckett. Et cette manière de mettre en scène a produit un réel chef-d'œuvre, que sanctionna un Molière, bien mérité, de la meilleure mise en scène, en 1996.

Ce droit divin du "chef" n'est plus remis en question, c'est devenu une règle du jeu. Le metteur en scène est jacobin. Il sait tout, il voit tout, il décide de chaque détail, il quadrille textes, scènes et corps. C'est le jardin à la française, où même des genres sont définis et cloisonnés (tragédie, tragi-comédie, comédie de mœurs, de caractère, larmoyante, etc.).


Ailleurs, brève digression, en schématisant à la hâte, il y a le jardin à l'anglaise, foisonnant, mélangeant tous les genres, le théâtre shakespearien. Ou les improvisations italiennes, les canevas qui limitent un terrain, où les acteurs ont plus grande liberté pour jouer, jouer entre eux. Etc.

Ainsi, ce spectacle est une excellente métaphore de "l'épreuve française" du classicisme qui, somme toute, perdure depuis le Grand Siècle : notre langue a tant d'esprit que tout pouvoir la craint. Il veut la diriger en chaque mot.

Mais si Marivaux prit pour muse la belle Silvia des Comédiens-Italiens (chaque pièce de lui où l'on retrouve son prénom fut écrite pour elle), comédienne la plus aimée et la plus célèbre de l'époque, c'est peut-être parce qu'avec leur jeu plus libre, les Italiens donnaient à ses textes plus d'esprit. Certes, il n'avait guère le choix, mais il ne le regrettait pas.

Ainsi, brève illusion, pour être mieux gouverné, ce pays si profondément spirituel, mériterait sans doute d'être mieux et plus souvent écouté, en chacun de ses acteurs, si créatifs. A l'épreuve.

Philippe Dohy


Voir ou revoir 5 films de, ou sur, Chéreau ; détails dans ce billet >

 

Le Désir mis à... l'Epreuve 
de Marivaux, Compagnie Eulalie,
fut joué de septembre à octobre 2010.

Théâtre 13
103A, boulevard Auguste-Blanqui
75013 PARIS (Métro Glacière) 

mardi 14 mai 2013

La Révolution belge, révolution des journalistes.

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En 28 pages, claires, captivantes, gratuites, modestes et drôles, dans le fichier ci-joint, car l'audio de 28' n'est pas disponible actuellement sur le site de Radio-France.


© scénario de Philippe Dohy, sociétaire de la SACD Paris, scénario historique diffusé sur France Inter en 2009.

dimanche 11 novembre 2012

Abinaya

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© Philippe Dohy

vendredi 12 octobre 2012

Abila


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© Philippe Dohy

lundi 8 octobre 2012

Aube


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© Philippe Dohy

dimanche 7 octobre 2012

Abigaïl


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© Philippe Dohy

dimanche 30 septembre 2012

Abigaëlle

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© Philippe Dohy

Abida

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© Philippe Dohy

Abibatou

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© Philippe Dohy

mardi 18 septembre 2012

Abiba

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© Philippe Dohy

lundi 17 septembre 2012

Abelone

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© photo Philippe Dohy

Abelle

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© photo Philippe Dohy

Abeline

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© photo Philippe Dohy

dimanche 16 septembre 2012

Abelina

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© photo Philippe Dohy

Abélie

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© photo Philippe Dohy

vendredi 14 septembre 2012

Aaya

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© photo Philippe Dohy

Aaricia

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Nos ancêtres les Parisiennes :-)

Voir la plus grande version de cette invitation (entrée libre chaque jour) et les oeuvres des artistes > (clic)

17 pièces, 17 chefs-d'oeuvre.
Cette exposition mérite le Label Duchmoll :-)

Aaliyah

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© photo Philippe Dohy