absurde technocratique
"La taxe professionnelle souffrait déjà d'une effroyable complexité. Son remplacement partiel par une ribambelle de nouveaux impôts au mode de calcul imbitable s'avère encore plus ésotérique.
Place désormais :
- à la contribution économique territoriale (décomposée elle-même en deux cotisations différentes)
- à l'imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (eau, téléphone, électricité...)
- à l'impôt sur le matériel roulant (trains et métros).
Des règles encore plus obscures devraient présider à la répartition de ces nouvelles taxes entre les mille-feuilles des collectivités locales."
Suite dans Le Canard enchaîné du 4 nov 9,
Une taxe pas vraiment professionnelle.
© photo Sanbo