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"La taxe professionnelle souffrait déjà d'une effroyable complexité. Son remplacement partiel par une ribambelle de nouveaux impôts au mode de calcul imbitable s'avère encore plus ésotérique.

Place désormais :

  1. à la contribution économique territoriale (décomposée elle-même en deux cotisations différentes)
  2. à l'imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (eau, téléphone, électricité...)
  3. à l'impôt sur le matériel roulant (trains et métros).

Des règles encore plus obscures devraient présider à la répartition de ces nouvelles taxes entre les mille-feuilles des collectivités locales."

Suite dans Le Canard enchaîné du 4 nov 9,
Une taxe pas vraiment professionnelle.

© photo Sanbo