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BETIPUL saison 2, série israëlienne de 35 épisodes de 30' environ, est diffusée sur Arte à partir de ce samedi !

Quand j'ai vu cela, j'ai laissé tomber tout le reste. La saison 1 était tellement intelligente et bienfaisante de bout en bout que j'étais impatient de découvrir si ce serait encore le cas avec la suite.

Le dispositif est très simple. Le lundi, l'analyste (un monstre sacré de sensibilité) reçoit une ancienne patiente d'il y a quinze ans. A l'époque, elle avait 24 ans, elle l'avait consulté car elle était tombée enceinte et se demandait si elle allait garder l'enfant ou pas.

Le mardi, c'est un couple séparé et en instance de divorce. Ils viennent avec leur unique enfant, un garcon de 12 ans qui a des problèmes alimentaires depuis leur rupture.

Le mercredi, c'est un élégant patron d'une grande entreprise. Il a 63 ans et des crises d'angoisse terrifiantes.

Le jeudi, c'est, mon dieu, c'est, ah la la, c'est terrible, c'est une étudiante en avant-dernière année d'archi aux Beaux-Arts de Tel Aviv. Elle est canon, intelligente, belle. Mais elle, alors là, c'est elle qui m'a fait sangloter le plus, car elle.

Le vendredi, c'est sa psy qui le supervise. C'était l'une de ses profs de fac et puis directrice de thèse. Elle le trouvait très doué ; et elle ne se trompait pas. Quel mec !

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Le remake américain de la saison 1 est très bien. La saison 2 est laborieuse. Quant aux saisons 3 et 4, c'est la cata. Tant et si bien que je n'ai jamais pu regarder complètement la 3 et qu'après deux épisodes, j'étais écoeuré de la 4.

Le remake francais de la saison 1 est très bien. Frédéric Pierrot, Mélanie Thierry, Reda Kateb, Clémence Poésy, Carole Bouquet sont à fond dans leur rôle. Mais Céleste Brunnquel crève l'écran.

La saison 2 est indigeste, j'ai arrêté après quelques épisodes. Eye Haïdara n'est pas crédible. Charlotte Gainsbourg est complètement perchée, ça ne nous change pas. Et puis Jacques Weber, que ce soit au cinéma ou au théâtre, c'est pareil, toujours le même sous-texte simpliste : Moa, Moa, Moa.