Battu par Alain Juppé aux primaires de la droite, Nicolas Sarkozy rejoint sa mère patrie idéologique, Marine Le Pen et l'extrême-droite hongroise antiturque et xénophobe, avec ses plus fidèles lieutenants de la peur et de la haine.

Au deuxième tour des présidentielles, Juppé en appelle à la gauche pour "faire front républicain" contre "le bloc fasciste", Le Pen et ses nouveaux alliés.

Comme en 2012, la gauche se mobilise largement, à contrecoeur mais néanmoins.

Et nez en moins car, comme en 2012, après l'élection, le nouveau président Juppé fait comme l'ancien président Chirac : un pied-de-nez à la gauche pour retrouver une majorité à droite lors des législatives suivantes et pour pouvoir appliquer ses théories classiques de vieillard conservateur ultralibéral.

Résultats :

  • gauche disparue
  • droite ultra-libérale
  • extrême-droite encore croissante
  • chaos économique accru, et riches encore plus riches
  • donc pauvres encore plus pauvres donc encore plus terrifiés


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