LE JOURNALEUX : A vous entendre, on croirait qu'il n'y a qu'une solution pour réformer les retraites.

LE MINISTRE : Oui, il n'y en a qu'une.

LE JOURNALEUX : Mais il y en a d'autres.

LE MINISTRE : ...

LE JOURNALEUX : Enfin, il y en a peut-être d'autres...

LE MINISTRE : Non. Une Seule. Nous avons bien réfléchi.

LE JOURNALEUX : Ah bon ? Dans ce cas, c'est la seule solution.

LE MINISTRE : Vous êtes combatif, impertinent, tenace, c'est bien. Je suis content d'avoir pu vous convaincre.